Depuis le début de la crise sanitaire mondiale engagée par la propagation de l’épidémie Covid-19, votre voyage en Australie est tout naturellement mis en péril. Alors que faire dans cette situation où tout avait été booké depuis des mois à l’avance ? Reporter ? Tout annuler ? Plusieurs options de remboursements s’offrent à vous auprès des compagnies aériennes et pour votre hébergement. Il est également permis de repousser la date de départ, et donc de retour, avec un différé pour votre visa en Australie, mais cette situation est davantage risquée, car personne ne peut dire avec exactitude la fin annoncée du confinement mondial !
Interdiction d’entrée sur le territoire pour tous les non-résidents
Le gouvernement australien, depuis le début de la mise en confinement mondiale, pour faire face à la propagation de l’épidémie Covid-19, a mis en place de nombreuses mesures similaires à celles de la France. Dans ce contexte, pour votre voyage en Australie, il ne s’offre à vous que deux options : l’annulation ou le report à une date ultérieure.
En effet, depuis le 20 mars 2020, la distribution de visas en Australie est non seulement suspendus pour tous les arrivants à venir, mais de plus, les vols étrangers et commerciaux sont suspendus pour les voyageurs étrangers. Seuls les résidents expatriés, désireux de revenir en Australie, ont la possibilité de passer la frontière. Pour le tourisme, comme pour le travail, les études, la frontière est tout simplement fermée jusqu’à nouvel ordre. Ainsi, tous les vols que vous auriez pu réserver pour votre voyage en Australie sont suspendus.
Voyage en Australie : Possible remboursement de votre vol et de votre hébergement
Alors que de nombreuses modalités sont également mises en place pour les étrangers, dotés d’un visa en Australie, et dont les informations sont à retrouver sur (https://www.aus-visa.org/)le site aus-visa.org, pour votre voyage à venir, seules les compagnies auront la réponse à vos questions.
En effet, toutes les sociétés de vols commerciaux, comme de locations d’hébergements de vacances, ne présentent pas les mêmes clauses face à la situation exceptionnelle engendrée par l’épidémie Covid-19. Si pour Air France notamment, il ne fait aucun doute que le vol aller, comme retour, est intégralement remboursé, avant de pouvoir effectuer une autre réservation à une date ultérieure, du côté des compagnies low-costs, le sujet est un peu plus sensible. Nombreux témoignages font état de refus de remboursement face à l’annulation des vols pour voyage en Australie, invoquant que ces annulations ne sont pas de leur fait, mais du seul gouvernement français et australien.
Pour la location de votre hébergement, via les plateformes types comme Airbnb, les modalités de remboursement, comma la présence d’une date butoir, sont favorables aux vacanciers. Mais la difficulté peut se présenter toutefois si votre réservation a été réalisée auprès de compagnies de voyages de groupes, guidés, avec une fois encore, l’invocation d’une annulation qui n’est pas de leur ressort. Il est alors essentiel de regarder de plus près votre contra voyage en Australie, ou même des assurances annulations vols et hôtels réalisables auprès de Mastercard ou Visa, si vos réservations ont été réalisées avec cette dernière.
Visa Australie Visiteurs : Repartez par le premier vol
Un voyage en Australie en pleine période de crise sanitaire, c’est le drame (https://www.lechotouristique.com/article/le-recit-dun-voyage-de-noces-en-plein-covid-19)de nombreux vacanciers français, qui ne rêvaient que d’une chose, profiter et s’extasier du dépaysement. Mais voilà, à peine arrivé, il semble qu’il faille déjà repartir. En effet, les restrictions gouvernementales en Australie sont une fois encore très strictes en ce qui concer les visas Australie visiteurs, d’une durée de validité inférieure à trois mois. Le retour sans plus attendre en France est assigné.
Les touristes n’ont pas d’autres choix que de faire le trajet inverse, en choisissant parmi les compagnies aériennes qui officient toujours entre la France et l’Australie. La mauvaise surprise du chef, c’est que les prix sont absolument exorbitants, avec une hausse largement constatée de près de 50% aux prix habituels sur la même période.
